La cuisine du 6e étage

Du Piano au réchaud !

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Un format hors-norme, une couverture très rouge ! Un peu difficile de consultation si on veut utiliser les recettes.

Nathalie GEORGE a grandi entre l’Italie et la France, deux cultures et deux langues, sous l’aile bienveillante de sa grand-mère Gilberte; elle livre un message : la cuisine est une école de la vie !

Pour l’histoire : suite à quelques déboires financiers, Nathalie se retrouve au 6e étage, c’est la chambre de la bonne !

Sous la forme d’une pièce montée en trois actes, trois lieux et trois temps qui forment une existence, quel plaisir de les suivre à travers ces anecdotes truffées d’humour, recueillant ainsi l’histoire de ces recettes, du piano de l’aïeule Gilberte au couloir du 6e étage de Nathalie, à travers ces personnages d’âges et d’horizons divers qui empruntent l’escalier pour venir dîner et partager des plats concoctés sur le réchaud à un feu.

Ce livre est une ode à la cuisine de tous les jours transmis avec amour et par amour.

 

Un extrait pour donner la couleur

Tout sert en cuisine ou presque. Et l’inventivité est au rendez-vous. Rien n’est raté. Peut-être moins bien qu’attendu ou meilleur et c’est la récompense. On peut orienter, négocier, bifurquer, il faut avoir la tête libre et construire. Ceux qui aiment cuisiner savent toutes les satisfactions que cela peut leur apporter et comment se développera leur créativité. Les autres le découvriront !
Faire son marché revêt une importance primordiale. C’est un contact à la fois humain et avec la nature qui vous ancre dans la vie sociale pour des rapports authentiques. Il est facile de décrocher. Aller dans un magasin de surgelés, c’est comme aller faire ses courses dans une morgue. Regarder, sentir, toucher, préparer les légumes, fruits, poissons, volailles est un contact physique avec le rythme des saisons.
Quant aux échanges avec les producteurs, maraîchers, bouchers, poissonniers, un plaisir et la possibilité d’apprendre.

Quelques notes de l’éditeur (4 e de couverture) :
Pour faire partie des rares experts en vins certifiés au monde, Kate doit réussir le très
prestigieux concours de Master of Wine. Elle fait pour cela le choix de se rendre en
Bourgogne, dans le domaine appartenant à sa famille depuis des générations. Alors
qu’elle se lance dans le rangement de l’immense cave, elle découvre une chambre
secrète contenant un lit de camp, des tracts écrits par la Résistance et une cachette
pleine de grands crus. Intriguée, Kate commence à explorer l’histoire familiale, une
quête qui la mènera aux jours les plus sombres de la Seconde Guerre mondiale et à des
révélations très inattendues.

À propos de l’auteure :
Directrice artistique dans les domaines de la maison, de la culture et des voyages, et grande voyageuse dans le cadre de son travail, notamment au Japon, où elle a suivi les débuts de Joël Robuchon à Tokyo. Elle partage également ce gout pour la cuisine japonaise avec Yannick Alléno, chef du Pavillon Ledoyen, triplement étoilé, qui d’ailleurs signe la préface de La cuisine du 6e étage, partage ce goût pour les délicatesses qu’il met en pratique dans son restaurant parisien

<p value="<amp-fit-text layout="fixed-height" min-font-size="6" max-font-size="72" height="80">Titre : <strong>La cuisine du 6<sup>e</sup> étage</strong>Titre : La cuisine du 6e étage

Auteure : Nathalie George
Éditions Herodios
Date de parution :  Automne 2020

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Prévisualiser(ouvre un nouvel onglet)Ajout de titreLa cuisine du 6e étage

La Mémoire des vignes


Un polar au cœur d’un domaine viticole, dans les grandes vignes de Bourgogne qui recèlent des secrets de famille, notamment au cœur de l’intrigue, celui d’une vieille tante oubliée pendant ces années de guerre.
Tout en refaisant la route de ce célèbre vignoble, l’intrigue devient captivante et, à travers cette quête que va mener Kate, la honte et la culpabilité rejoint cette noble famille.

Intrigue amoureuse, gastronomie partagée et grands crûs, cette jeune bourguignonne émigrée aux USA qui se prépare a affronter le très prestigieux concours de Master of Wine se prépare-t-elle également a reprendre possession de son terroir d’origine.

 

Un extrait pour donner la couleur
Deux semaines supplémentaires à Meursault…Lorsque les invités commencèrent à arriver Heather et Nico sortirent à grand-peine le cochon- dont la peau était croustillante et dorée à souhait – du four è bois, et quand l’oncle Philippe découpa les premières tranches de viande moelleuse, tout le monde se mit spontanément à applaudir. La table du buffet croulait sous le poids de la charcuterie et des salades, une impressionnante montagne de saucisses cuites au barbecue, des gratins de courgettes et autres légumes du jardin, des plats de fromage locaux appétissants et tout un assortiment de gâteaux … Nous mangeâmes et bûmes jusqu’à ce que le vin sot remplacé par le ratafia, un alcool maison fabriqué à partir de jus de raisin légèrement fermenté et d’une eau-de-vie de raisin d’une puissance alcoolique quasiment mortel.

Quelques notes de l’éditeur (4 e de couverture) :
Pour faire partie des rares experts en vins certifiés au monde, Kate doit réussir le très
prestigieux concours de Master of Wine. Elle fait pour cela le choix de se rendre en
Bourgogne, dans le domaine appartenant à sa famille depuis des générations. Alors
qu’elle se lance dans le rangement de l’immense cave, elle découvre une chambre
secrète contenant un lit de camp, des tracts écrits par la Résistance et une cachette
pleine de grands crus. Intriguée, Kate commence à explorer l’histoire familiale, une
quête qui la mènera aux jours les plus sombres de la Seconde Guerre mondiale et à des
révélations très inattendues.

À propos de l’auteure :
Ann Mah est diplômée de l’Université de Californie de Los Angeles. Passionnée de
voyages et de cuisine, elle écrit régulièrement pour de nombreux journaux et magazines
américains, notamment le New York Times et le Vogue.

Le cahier de recettes

Des centaines de cahiers ou de livres de recettes se discutent l’espace-tablette de ma Librairie. Voici un véritable coup de cœur pour tous amateurs de littérature gourmande !

Un voyage nostalgique dans le temps qui sollicite tant l’esprit que les papilles et le cœur. Un livre d’amour entre le père, le fils et en filigrane une mère absente.
La transmission de la cuisine française – celle de l’époque, celle des tripiers, et dira-t-il  « Le respect des animaux, c’est important, mort et vivant. Plus encore en cuisine. »
Celle des tripiers, de la hampe-frite au menu et celle du cépage Noah, ce cépage interdit depuis les années 1930 en France – il rend fou, parait-il !

Des recettes camouflées sous quelques lignes littéraires, recettes de crêpes, de mousse au chocolat, de bolognaise, de bœuf aux carottes … ou ce ne sont pas les ingrédients que les gestes du maître qui valent la lecture.

J’ai particulièrement apprécié ce livre… avec quelques irritants dont les références à une vie qui se déroule à Paris…  (Avec l’empressement d’un gardé à vue qui vient de signer son P.-V de sortie). (A ton âge, j’étais obligé de marner dans un fournil…) et surtout (les senteurs de l’été indien – me fait toujours grincer des dents – ils comprendront peut-être un jour que cette expression n’est pas de Jo Dassin mais bien issue de la réalité québécoise. !

Un extrait pour donner la couleur 

On boit, on bouffe, on se gave, on flirte, on dégueule, on reboit. Et toi, tu turbines dans ta cuisine. Tu dresses des coupes de sorbet avec des tuiles. … Fais pas ça mon fils !

Tu prends un poêlon dans lequel tu verses une pluie de sucre en poudre qui fond, ça sent le caramel, tu retires le poêlon du feu et ajoutes du beurre, puis de la crème. Tu étales ce mélange sur une crêpe, dans lequel je mords à pleines dents

Quelques notes de l’éditeur (4e de couverture) :
Monsieur Henri, le charismatique patron du restaurant le Relais fleuri, s’est toujours opposé sans explication à ce que son fils Julien devienne cuisinier. Quand il sombre dans le coma, Julien n’a plus qu’une obsession : retrouver le cahier où, depuis son enfance, il a vu son père consigner ses recettes et ses tours de main. Il découvre alors d’autres secrets et comprend pourquoi Henri a laissé partir sa femme sans un mot. Avec ce roman, Jacky Durand nous offre le magnifique portrait d’un homme pour qui la cuisine est plus qu’un métier : le plaisir quotidien du partage et l’art de traverser les épreuves. Une tendre déclaration d’amour filial, une histoire de transmission et de secrets, où, à chaque page, l’écriture sensuelle de l’auteur nous met l’eau à la bouche

À propos de l’auteur :
Jacky Durand est journaliste culinaire. Depuis des années, il sillonne la France pour ses chroniques culinaires dans Libération

Titre : Le cahier de recettes
Auteur : Jacky Durand
Éditeur : Stock
Date de parution : Avril 2019

Un sacré Gueuleton

Par le plus gourmand des écrivains américains

Une sélection de texte, de commentaires, d’appréciation de repas tant à Paris, qu’à NY, qu’en Irlande… finalement le résumé de la vie gourmande de ce journaliste, chroniqueur, auteur et grand amoureux.
Il a alimenté les pages gastronomiques de plusieurs journaux et magazines et on retrouve dans ce livre d’excellents textes qui nous font saliver autant que rire notamment un déjeuner en compagnie d’Orson Welles, de même que celui pris à Vézelay, qui lui permettra de déguster 37 plats et 19 vins différents.
On se rappelle que son principe de vie fut La règle de base est d’être modéré à l’excès. Amateur de grands vins rouges, il dira Quand la vie décide de m’écraser, je sais que je peux faire confiance à un Bandol, à quelques gousses d’ail et à Mozart.

Le ton sarcastique de Big Jim, l’humour dévastateur sont la trame de ces articles publiés au fil de sa carrière. Un pur délice !

Un extrait pour donner la couleur 

« Si l’on devait m’apprendre que j’allais bientôt passer l’arme à gauche, j’ai souvent pensé que je rejoindrais Lyon pour y manger comme quatre durant un bon mois, après quoi on pourrait me jeter d’une civière dans le Rhône bien-aimé. Peut-être y nagerais-je au fil du courant jusqu’à Arles pour y savourer mon dernier dîner. »

Quelques notes de l’éditeur (4e de couverture) :
Tous les lecteurs de Jim Harrison connaissent son appétit vorace pour la bonne chère, les meilleurs vins et autres plaisirs bien terrestres qui irriguent son œuvre. Grâce à ce Sacré gueuleton, même les plus fidèles d’entre eux seront surpris de découvrir l’étendue de ses écrits sur le sujet. Rassemblés pour la première fois en un seul volume, ces articles publiés au fil de sa carrière ne se contentent pas de célébrer les plaisirs de la table. Savoureux quand il croque les travers comparés des critiques littéraires et des experts œnologues, féroce quand il brocarde l’affadissement du goût et la nourriture industrielle, Big Jim parle de gastronomie avec la même verve que lorsqu’il évoque la littérature, la politique, l’amour des femmes ou l’amour tout court.

À propos de l’auteur :
Né en 1937 dans le Michigan, Jim Harrison, a collaboré à de nombreux magazines, dont le New Yorker, Esquire, Sports Illustrated, New York Times; de plus, il a publié une trentaine de livres qui l’ont imposé comme l’un des plus grands auteurs américains de notre temps. Il est décédé en 2016.

Titre : Un sacré gueuleton
Auteur : Jim Harrison
Éditeur : Flammarion
Date de parution : 2018

Saveurs vagabondes, une année dans le monde

Le Goût des voyages

900539-gfDes voyages, des aventures, beaucoup de cuisine, l’ensemble ponctué de références littéraires, Saveurs vagabondes de Frances Mayes est une délicieuse lecture d’été.

Le premier ouvrage de l’auteure: Sous le soleil de Toscane nous transporte dans les aléas des travaux de rénovation d’une villa en Toscane. Nous y rencontrons de croyants voisins à l’ombre d’un cyprès, y achetons quelques aubergines, courgettes et tomates à la vieille épicière, préparons un diner avec ces aliments simples goûtant le ciel, puis Frances Mayes nous invite à sa table dressée de vaisselles dépareillées à l’ombre d’un olivier. Une lecture qui fait goûter la Toscane et la joie des travaux.

Saveurs vagabondes nous emmène plus loin encore, le couple nanti profite de ce pied à terre situé au cœur de l’Europe pour partir à la découverte des pays voisins.
Janvier commence en Andalousie le pays des orangers, ses soirées chaleureuses, ses bars à tapas, ses vignes et sa musique.
Mars on part au Portugal sur la route des explorateurs, de Lisbonne et ses azulejos, de l’Alentejo et son terroir frugal. On mange de traqueria en traqueria et on comprend que la gastronomie portugaise à beaucoup à offrir.Saveurs vagabondes
On se fraye ensuite un chemin dans les rues de Naples, un espresso et une pointe de pizza sur le pouce et direction la Médina de Fez au Maroc où l’on rentre dans l’intimité des rues médiévales de ses persiennes et vitraux colorés, de ses odeurs et de ses secrets. Carottes au cumin, poivrons grillés, olives au citron confit et couscous traditionnel, on salive.
colette saveurs vagabondesDépart pour le terroir riche de la Bourgogne sur les pas de l’écrivaine Colette, cuisine française, bouteilles de bons crus et quête de fines herbes sur fond de littérature.
Juillet sera au jardin dans les îles Britanniques, souper de pâté de porc en croûte, cake au thé et à la cannelle ou bien un roulé à la confiture en dessert. Une toile de campagne anglaise qui évoque le paradis.
Fatigué? Va pour une croisière dans les îles grecques: Corfou, Crête, Volos, Pirée etc… en quête du bleu pur et de la cuisine méditerranéenne.

500 pages où Frances Mayes fait voyager nos sens grâce à son écriture sensuelle. Un des livres les plus gourmand que j’ai lu.
Une lecture évasion, une carte postale de saveurs et un très bon guide de voyage.

Un extrait pour donner la couleur

Les odeurs du pain qui cuit, des pavés mouillés, du poisson frit dans les boutiques de rues. Arômes de coriandre, de menthe, de gros ragoûts et de porc rôti qui filtrent aux portes des petits restaurants de quartier – les tascas. Le plat du jour – prato do dia – est affiché sur la vitrine, et nous choisissons une tasca aux tables pleines, où tout le monde s’assoit avec tout le monde. En attendant ma commande, j’admire le gâteau aux noix nappé de caramel qu’on apporte au voisin. Il s’en aperçoit, s’empare de ma fourchette et me la rend avec une bonne bouchée de son gâteau. (p148)

pain portugal saveurs vagabondes

Quelques notes de l’éditeur (4e de couverture):
«De la fenêtre de mon bureau, je vois la baie de San Francisco – terrain bleu encadré de tribunes d’eucalyptus. J’imagine que le vent a traversé l’Asie, survolé Hawaii, apportant avec lui – si j’avais l’odorat assez puissant – le parfum des frangipaniers. Le soleil fait une sortie grandiose à l’ouest, dans un ciel marbré de lavande et de rose. La baie engloutit l’océan ! Avec l’élan d’un tremblement de terre, une certitude sauvage point entre mes tempes. Il est temps. De partir. Temps. De partir. Et c’est tout.»
Frances Mayes s’accorde une année de vagabondages pour découvrir le métissage des cultures en Andalousie, la cuisine du Portugal, les jardins à l’anglaise, effectuer un pèlerinage littéraire dans le pays de Colette en Bourgogne, errer au hasard des ruelles de Fez. Partout elle s’immerge, se mêle, flâne au marché, pousse les portes des cuisines de restaurant, entraînant le lecteur avec elle. Elle met ses pas dans ceux d’Homère, se repose de la mer Égée à l’ombre des oliviers en Crète, mais c’est à Mantoue qu’elle rêve de s’installer, en attendant que l’appel de la route la reprenne. Le livre savoureux d’une épicurienne.

À propos de l’auteure: francesmayes
Frances Mayes est une écrivain, professeur d’université, poétesse, essayiste américaine qui partage sa vie entre Hillsborough et Cortone.

Titre: Saveurs vagabondes, une année dans le monde
Auteur: Frances Mayes
Éditeur: Folio
Date de parution: 2008
Traduit de l’américain par Jean Luc Piningre

Pour vous le procurer

Chaque jour est un festin

Chaque jour est un festinLe dernier livre de ce couple prolifique (puisque James est décédé en juin 2015).
Chaque jour est un festin est un almanach sur le goût, l’histoire des gens, le sexe, la nourriture, le vin, sur l’art de la table qui a marqué une passion commune chez ce couple. Un florilège de tout ce qui leur a plu dans ce monde de la gastronomie. De courts feuillets avec des notes singulières sur tant de sujets variés : on y trouve donc des recettes comme celles de John Irving pour confectionner des boulettes ou celles des Salter pour le poulet Marengo, les blinis, le gaspacho et quelques cocktails. On y trouve également des conseils en tout genre, des notations historiques. Les Salter nous font ainsi partager les réflexions culinaires de la reine Victoria, JFK ou encore Winnie l’ourson. Voici  un hommage à la gloire de la nourriture et du vin, mais particulièrement sur le plaisir de les partager.

Un grand plaisir de lire quelques pages, le matin avec le premier café. Elles nous rappellent que finalement rien n’est aussi important que le plaisir de manger ce que l’on aime avec les gens que l’on aime !

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Un extrait pour donner la couleur

Notre maison d’Aspen remontait au temps de la Ruée vers l’or. La cuisine était petite, le plan de travail minuscule et le sol usé, mais elle était fonctionnelle et l’on s’y sentait bien. (…) C’est dans cette pièce que nous avons commencé à cuisiner ensemble en 1976. Nous n’avons, ni l’un ni l’autre, que peu d’expérience de la cuisine, et cette pratique en commun ne fut pas le résultat d’une décision – cela s’est fait comme ça, c’est tout ! Nous cuisinions côte à côte, nous suivions des recettes. Celles de James Beard ou de Mireille Johnston, deux de nos auteurs culinaires préférés. (…)

Si nous avons écrit de livre ce n’est pas pour donner des réponses définitives, mais nous aimerions qu’il plaise à ceux pour qui, manger est plus qu’un besoin de base. (…)
Nous espérons que cet ouvrage sera lu mais aussi utilisé. La vie est faite d’une multitude de choses, et parmi les plus belles que compte cette multitude, il y a les repas. (page 9)

Quelques notes de l’éditeur (4e de couverture) :

Quel fut le menu servi sur le Titanic lors de la nuit fatale ? Comment décider qui inviter ou pas à dîner ? Où, à Paris, Samuel Beckett et Harold Pinter dégustaient-ils de la soupe à l’oignon à 4 heures du matin ? De la galette des rois de janvier à un dîner au champagne du Nouvel-An, James et Kay Salter nous offrent ce que 40 années de vie commune leur ont apporté de sagesse culinaire, de leurs propres recettes à des anecdotes littéraires, de leurs triomphes en cuisine à leurs désastres.

À propos des auteurs :

jamesNé en 1925 à New York, James Salter est décédé en juin 2015. Ce géant du roman américain, auteur  de nombreux livres est aussi un vétéran de la guerre de Corée. Il a publié son premier roman The Hunters en 1956.
Kay Salter, son épouse, journaliste et dramaturge, a écrit entre autres pour The New York Times et Food and Wine.

Titre : Chaque jour est un
Auteur : James Salter et Kay Salter
Éditeur : de la Martinière
Date de parution : 2015
Traduction de l’américain par Sophie Brissaud

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